Somme toute une banale histoire d’amour

POURQUOI LES CAPITALISTES ACHETENT-ILS DES MAISONS D’ÉDITION LITTÉRAIRES ? 


Une tentative de réponse dans ma fiction parue dans Actualitté

EXTRAIT: "Megève. La nuit descendait sur les pentes immaculées. Une chambre du Four Seasons. Le silence imposé par la neige qui tombait, dru, berçait la conversation du couple, qui venait de faire l’amour pour la deuxième fois.

Elle est journaliste littéraire : une voix qui s’entend à la radio et un visage qui se voit à la télé. De plus, elle pond des merdes de romans qui se vendent bien parce qu’elle est célèbre, et surtout parce qu’elle a un physique de mannequin aux longs cheveux blonds, au teint légèrement bronzé et aux yeux d’un gris métallique.

Lui, il est l’écrivain africain le plus connu de sa génération. Bien qu’installé aux États-Unis, on le voit et on l’entend partout. Les micros lui sont tendus en permanence et les caméras raffolent de son faciès avenant. Il sait emballer une audience en débitant des inepties. Il se murmure dans le milieu que son succès est principalement dû à son charme..."


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