VINGT-QUATRIEME DIVAGATION
Les villes sont ainsi
faites que l’été
Le promeneur trouve
toujours un coin d’ombre où s’asseoir
Le temps de reposer ses pieds d’une longue marche, de se
refaire des forces, de se remplir d’énergie
En avalant la boisson
froide qu’il a sorti tantôt de sa besace ou en croquant dans la chair d’une
pomme
(c) Timba Bema, 2013
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